Publié le 22 mai 2023 par Habitat Humanisme Rhône
Quand Christophe Perrin a passé le relais du poste de Président d’Habitat et Humanisme Rhône à Franck Chalvin, il l’a informé du temps qu’il donnait à l’association : 47 heures par semaine !
Je m’inscris dans un mouvement qui ne m’a pas attendu. Je n’ai pas l’ambition de laisser ma marque. Pourquoi changer ce qui marche ?
Il apporte néanmoins un précieux savoir-faire : sa connaissance des questions de logement et d’immobilier.
Il a en effet effectué toute sa carrière professionnelle dans ce secteur, entre Paris et Lyon chez le leader de l’immobilier d’entreprise, puis pour Generali et enfin 18 ans comme associé à Lyon au sein de la Régie Saint Louis.
Il a d’ailleurs dans ce cadre géré les biens de « La Pierre Angulaire », consolidant ainsi sa proximité avec Bernard Devert, un ami de longue date.
C’est une évidence pour moi, je suis là pour aider à apporter à Habitat et Humanisme Rhône du logement. J’ai l’intention par exemple de rencontrer les promoteurs pour les convaincre de se rapprocher de l’association pour du logement temporaire.
Franck découvre peu à peu le « terrain » d’Habitat et Humanisme Rhône. Il a poussé la porte du Village d’insertion de Saint Priest, de la Bouée, des Escales Solidaires… Ce n’est que le début. Il se dit « émerveillé de l’osmose entre les salariés et les bénévoles. C’est un vrai trésor. » Et impressionné par les missions d’accompagnement d’Habitat et Humanisme Rhône : « entre autres, toutes ces personnes ramenées à l’emploi. »
Marié et père de 4 enfants, ce Lyonnais connaît les valeurs de l’engagement, avec un parcours associatif fourni : club de basket, association de parents d’élèves, associations paroissiales… et pendant 23 ans Président de l’Hospitalité Lyonnaise de Notre-Dame de Lourdes.
Nous emmenons 3500 personnes à Lourdes, dont 650 fragiles, handicapées. Ca ouvre les yeux sur la vie… et la mort d’ailleurs.
Franck est bien décidé à s’investir à fond pour développer Habitat et Humanisme Rhône, innover. Il a beaucoup d’idées :
Il y a tant à faire. Toute la question est de trouver des financements. C’est le gros changement par rapport à mon métier.